Devri

bakulañ / bakuliñ / pakuladiñ

bakulañ / bakuliñ / pakuladiñ

v. tr. d. Baculer.

(1499) Ca 16a. Baculaff. g. baculer. ●(1633) Nom 195b. Oscillum, oscillatio, oscillis aut oscillatis ludere : baculer, hallocher : baculiff, hoary-bacul.

(1919) DBFVsup 10a. brakulein (Arv[or]) bakulein, pakulein (Pl.) v. a. suspendre quelqu'un par les épaules et les pieds lui faire toucher la terre. - Ailleurs stalonein, bastrouillein. ●53a. pakuillein, pakuilladein (Pl. Baud). V. Brakulein. ●(1957) ADBr LXIV 4/446. Bakuli : v. - Se dit quand deux jeunes gens saisissent une jeune fille - ou exceptionnellement une femme mariée - l'un par les épaules, l'autre par les pieds, pour lui faire toucher les fesses trois fois par terre. - (Jeu assez brutal, en honneur autrefois les soirs de battage, pratiquement disparu de nos jours). D'une femme qui avait subi cette plaisanterie on disait : bakulet eo bet, ou roet a zo bet eun tamm avel-eost dei. ●(1955) STBJ 169. Hervez ar c'hiz e yeas ar bôtred da barkula ar merc'hed, da lavarout eo da dapa peg en o diouskoaz hag en o zreid ha da stoka o fenn-adreñv ouz an douar, goude beza grêt un hij dezo en êr. ●201. skrig ha c'hoarz ar merc'hed faro, bouchet ha parkulet gant ar bôtred yaouank.

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